Le cadavre exquis par écrit le retour:

[tam]

ben oui ok
je passe aprés Mathilde c'est ça ?

[mathilde]

Je m'aperçois tout juste que c'est mon tour,
Je réfléchi, j'aurai presque envie que le héros devienne la héros, la prostituée, mais bon j'ai compris Arthuro est votre protégé.
a bientot.!!

suspens!!

[Eki]

Les 2 peuvent ne pas être morts également m'enfin libre cours à ton imaginatioooon =)

[mathilde]

#5

Un passant indique au véhicule des flics la porte d'où provenait la détonation.
le policier entrebâille la porte et aperçoit Arthuro et Sally à terre dans un combat corps à corps.
Sally chuchote quelque chose à Arthuro.
Le policier les sépare et et son acolyte leur passe les menottes.

sally se rebelle :
-Bande de con c'est lui qu'il faut boucler.


-c'est moi qui ai tiré, laissez là, j'ai pété un câble.

- On verra ça au poste .

-laissez-la,je vous dit ,j'étais sou et j'ai tirer un coup en l'air. Elle ma empêché de me suicider .je lui dois la vie Mr le policier ,alors s'il vous plaît relâchez là.

le policier peu convaincu:
-plus un mot ,au panier à légume, j'en ai assez de vos salades .


Je passe la main à TAM.

[Thomas]

Tam la liste a été mise a jour c'est ton tour.

Sinon ce serait bien qu'on fasse une page recapitulative tous les 6 textes donc si quelqu'un pouvait s'en charger apres le post de Tam, merci.

[SkinR]

Tam la liste a été mise a jour c'est ton tour.

Sinon ce serait bien qu'on fasse une page recapitulative tous les 6 textes donc si quelqu'un pouvait s'en charger apres le post de Tam, merci.

Pourquoi ne pas copier tous les textes dans le premier post comme pour les CE BD ?

[tam]

#1
8h du mat'...
Dans un quartier chaud d'une ville pourrie, comme il en existe pleins ce foutue pays.

« J’ai la tête comme une passoire et le palpitant a 120.
Je n’aurais pas du picoller autant…. »

Un homme, habillé d’un long manteau beige, se réveille au milieu d’un tas d’ordures et de sacs poubelles. Le bruit des passant qui sembles affluer dans la ruelle l’ont visiblement réveillé.
Il se relève, titube, se frotte les yeux, et ramasse son borsalino a moitié piétiné par terre.
Toujours en titubant, l’homme traverse la rue, puis continue tout droit, avant de tourner et de s’arrêter devant ce qui semble être un cabinet.
Il fouille dans toutes ses poches, sans succès, et finit par frapper à la porte.
- « Entrez ! » Invite une voix féminine.

L’homme ouvre la porte, rate une marche, visiblement toujours saoul, et finit par rentrer dans le cabinet.
La pièce est assez petite, et contient deux bureaux, et des étagères pleines de dossiers contre les murs.
Le plus petit bureau est occupé par une femme, la secrétaire de Mr Finnerty, détective privé, en train de taper a la machine a écrire.
Ce dernier avance, accroche son manteau et son chapeau, puis s’affale sur sa chaise.

-« Vous avez encore bu monsieur Finnerty ?! ça sens d’ici.

-Hoooo…Ta gueule toi…Chu pas d’humeur

-Je ne vous permet pas de me parler comme ça ?!Allez vous faire soigner ! Les alcoolos anonymes ça existe , réplique t’elle avec un rictus.

-Je vous ai dejà dit que j’ étais pas d’humeur ! »

La femme pousse un soupire, prend ses affaires, son sac, et sort en claquant la porte , avant de revenir , et de déclarer : « c’était la dernière fois ! Débrouillez vous sans moi ! »
Finnerty soupire, puis se met a se cogner la tête de plus en plus fort sur la table, jusqu'à saigner du front , en criant :
- « Quel con , mais quel con je suis ! Perdre ma femme et mes gosses , ça suffisait pas ?! »
Il se met alors a sangloter , puis son regard se tourne vers le porte manteau , ou se trouve son arme , pendue dans son holster…

#2

Essuyant ses larmes d'un revers, il se lève et se dirige vers son arme et la tenant fermement dans sa main voila qu'il s'enfonce le canon de son bon vieux colt, hérité de son père quinze ans plus tôt, dans la bouche. Il ferme les yeux, le doigt crispé sur la détente qui coulisse doucement jusqu'a ce que le bruit du percuteur se fasse entendre.

Le coup n'est pas partit lui toujours les yeux fermés et tremblotant n'en revient pas, il laisse tomber son arme sur le sol. Cette « faucheuse métallique » comme il aimait a l'appeler ne lui avait jamais fait faux bond, peut-être était-ce un signe, le signe qu'il devait résister malgré sa vie misérable de détective sans travail, sans famille et sans amis.

Tout un coup la porte du cabinet s'ouvre avec a son seuil Sally la prostituée vivant juste en dessous et qui lui offre des passes gratuites en remerciement du fait qu'il avait fait coffrer son mac....

#3

Sally s'appuya contre le mur, sa jambe droite relevée, et les bras croisés.

« - Arthuroooooo, mon bel Arthurooo, j'espère que tu voudras ...

- Toi, fiche moi la paix espèce de sale p*te et retourne à tes occupations ! » s'exclame Arthuro Finnerty d'un ton sec.

Sally le dévisage du regard, puis lui sourit :
« - Et bien alors, tu n'as plus envie de goûter à mon parfum délicat mon cher Arthuro ? Et ta petite bonne femme qui te servait de secrétaire, où est-elle passée ? Tu l'as faite craquer ?

- Sally tais toi !!!!

- Ta femme, tes gosses, même ta secrétaire ... tu comptes aller jusqu'où Arthu ... »

Ne pouvant se retenir, et malgré tout l'alcool ingurgité, Mr Finnerty se leva d'un bon et hurla :
« - Silence !!! Espèce de connasse, déguerpis sur le champ ou sinon ...

- Ou sinon quoi ? rétorqua Sally en s'énervant elle aussi.

- Ne me pousse pas à bout Sally, dit Arthuro Finnerty fixant les yeux de Sally d'un regard terrifiant.

#4

-Qu'est ce que tu vas faire ? ...tu es pathétique... Personne d'autre que moi n'a accepté de coucher avec toi depuis si longtemps que je suis sur que tu as oublié ce que c'est d'aimer quelqu'un ! ... Tu es un raté ... Tu te perds vieux schnock ! ...

-Arrêtes !

-Quoi ? ... tu crois que tu peux disposer des gens comme bon te semble ? ...tu ordonnes et on s'exécute ? ... Tu rêves ! ...laisse moi te dire tes quatre vérités ...
-Arrêtes ! ... tu ne sais pas ce que...

-...Te dire ce que tu refuses d'admettre !...

-Je t'en supplie ne m'oblige pas a ...

-... sur ta femme... et tes gosses ! ... Tout est de ta faute... tu... »

La jeune femme, penchée vers Arthuro, n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'un violent revers de main lui fait quitter le sol... pour retomber lourdement dans la poussière et la crasse du bureau.

« -...t'es complètement malade ! ... qu'est ce qui tourne pas rond chez toi ?!... »

L'homme avance, sombre, d'un pas menaçant, vers la fille vociférante.
Là, tombée dans un tas de feuilles éparses, l'arme de son agresseur laissée au sol. Elle la saisit dans un geste paniqué, et se relève d'un bond, dos au mur, acculée, face a un choix mortel.

« -Laisse moi sortir ! ... Laisse moi sortir ou je te bute ! ...

-Donne moi ce revolver !...

-Pas dans l'état dans lequel tu es ... laisse moi sortir... ou j'appelle a l'aide... »

Une détonation retentit, les quelques passants dans la ruelle toute proche se figent, et déjà, les sirènes d'une patrouille toute proche se font entendre...

#5

Un passant indique au véhicule des flics la porte d'où provenait la détonation.
le policier entrebâille la porte et aperçoit Arthuro et Sally à terre dans un combat corps à corps.
Sally chuchote quelque chose à Arthuro.
Le policier les sépare et son acolyte leur passe les menottes.

sally se rebelle :

« -Bande de con c'est lui qu'il faut boucler.

-c'est moi qui ai tiré, laissez là, j'ai pété un câble.

- On verra ça au poste .

-laissez-la, je vous dit , j'étais sou et j'ai tirer un coup en l'air. Elle ma empêché de me suicider .je lui dois la vie Mr le policier ,alors s'il vous plaît relâchez là. »

le policier peu convaincu:
« -plus un mot ,au panier à légume, j'en ai assez de vos salades . »


#6

Bon … à mon tour mais c’est pas facile !

"-Finnerty ! Dehors.

Finnerty releva la tête, le jeune flic à l'entrée de sa cellule semblait s'impatienter

- quelqu’un à payer ta caution, t'es libre."

La nuit était tombée. Finnerty descendait les marches mal éclairées du commissariat en cherchant son paquet de cigarette dans sa poche qd Sally s'avança vers lui.

- tu dois 400euros à Rosie c'est elle qui à payé nos cautions. Bon maintenant tu veux peut être savoir pourquoi je suis venue te voir ?!

-non, c'était trés claire." ironisa Finnerty

- non chéri t'y est pas, ça c'était le bonus. Tu te souviens de Marla ?"
Le visage de Sally avait rarement semblait si sérieux.

- La fille qui à était tuée la semaine dernière ?

- ouais, c'était la meuf de Giovani et il se trouve qu'il est mort ce matin. Overdose qu'ils ont dit, mais son frère, Margenci, n'y croit pas. C'est lui qui m'a envoyé te chercher. Il veut que tu trouve qui à tué frangin et pourquoi.

- Pourquoi moi ?

- Il se trouve que je connais bien Margenci, c'est moi qui lui ai parlé de toi. t'as besoin de fric, non ?"

... je m'arrètes là ...

[N!co]

Hey hey , ça prend une super tournure

[Eki]

ça a l'air bien sympatoche, par contre va falloir faire gaffe avec tous ces persos après xD

[mathilde]

ouais c'est vrai que sa donne bien

[SkinR]

<mode ronchon on>

Faites attention aux participes, infinitifs et ... imparfaits !!!! c'est limite pas illisible ...

On est pas à l'école, certes, mais ça veut être une ch'tite littérature tout de même ...

<ronchon off>

Continuez, c'est bien ....

[N!co]

c'est limite pas illisible ...

Donc tout va bien alors
Personellement je l'ai d'abord tappé sur word au cas où

[SkinR]

Le probleme, c'est que c'est à la limite mais du mauvais coté

[Eki]

J'ai rien voulu dire mais j'aurai bien dit pareil, ça serait cool de voir un poco plus de "structure" et d'attention :p

/me sort -> []

[Thomas]

#7

Margenci, ce nom tournait sans discontinuer dans l'esprit de Finnerty l'assaillant inlassablement a chaque fois qu'il essayait de fermer les yeux sur son canapé défoncé. Il n'avait pas le choix, son refus d'enqueter sur le décès de Giovani signifierait sa mort.Il enqueterait donc et un peu d'argent meme de provenance douteuse ne serait pas de trop pour payer la pension alimentaire de sa femme et ses futures soirées de beuverie.

Arthuro se leva et puis apres s'etre lavé les dents d'une bonne rasade de whisky prit son stetson et quitta le cabinet en direction de Pink-Amazones le quartier des putes de luxes. C'est la qu'habitait Rosie, veillant sur toutes les tapineuses en echange d'une comission sur chaque passes. Marla si c'était son vrai nom travaillait pour elle. Cette derniere devait donc savoir quelque chose et il savait qu'elle le lui dirait car il protegait ses filles et garantissait ainsi son commerce.